Quand je lis vos échanges les J&J… bientôt tout le monde finira par connaître ma marque de sous-vêtements…
Vous me désespérez.
Le Gratte-Papier a écrit :(Vincent silencieux, étonnant ^^)
Vipère ! J’avais surtout d’autres chats à fouetter ; comme par exemple les cartons de mon déménagement, les premiers signes de l’Episode 2 de
La Clinique, remanier
Mais c’est à vous que je pensais (Hors-scène·Seconds rôles), et un petit tour aux urgences hier en soirée… (Tout va bien !)
J'ai quelques minutes devant moi, jouons de balises.
Kelley Doe a écrit :Il faut croire que je ne suis que Madame de…
J’ai gagné une particule ? J’aime l’idée.
Hervé a écrit :[…]
Si tu le permets Hervé je répondrai à ton développement dans un second temps ; j’ai bien trop de respect pour nos conversations et leur richesse d’idées pour mélanger les arguments, au risque de les bâcler, de les noyer – sous un néznûffar.
D’autant que tu soulèves des réflexions de pertinence avec lesquelles j’entre en résonance.
Happily ever after a écrit :Juste pour remettre les choses dans leur contexte : je travaille avec Vincent. Si au fil du temps un rapport de sympathie s'est créé, nous entretenons avant tout une relation professionnelle, qui est loin d'être complaisante.
Et il t'en remercie. Il est vrai que c'est un véritable plaisir de travailler
pour avec
moi toi.
Happily ever after a écrit :Essayez de faire bouger une virgule dans un de ses textes, et vous comprendrez de quoi je veux parler...
Ne me relance pas sur ce sujet, mes virgules étaient parfaitement placées !
Happily ever after a écrit :Parfois mon rôle est justement de mettre le doigt sur des [...] associations lexicales (trop) avant-gardistes
Flatterie... Continue !
James A. H. Orne a écrit :je déteste être traité de catégorique obtus égocentrique narcissique sans curiosité insipide consumériste et se contentant de peu
Au minimum. Sans oublier thermolactyl, vert, sans additif ni conservateur, instantané, antiseptique, au moins... Mais heureusement, et que le ciel t'en garde, tu n'es pas stalinien pratiquant !
Le rapport ? Aucun, mais tu auras commencé le premier.
James A. H. Orne a écrit :je vais en rester là sur cette.... (non vraiment je ne trouve pas de mot pour qualifier la première partie de ta réponse).
Diatribe selon toi, à la lecture de ta réaction.
Selon moi, simple invitation à ne pas juger à l'emportée, à ne pas t'insulter, à ne pas te rabaisser intellectuellement ; témoignage de tristesse également, à la lecture de ce qui me semblait bien regrettable, dommageable. Pour nous.
Puis le développement, que tu voulais, après lequel tu attendais, pour entamer une discussion, éclaircissant mon « Sempiternelles excuses, du rêve de la société » et
l'idéologie l'accompagnant. Temps que j'ai pris. Tant soit peu.
James A. H. Orne a écrit :Pour le coup, je pense me faire rare sur cette partie du forum pour me concentrer sur ce pour quoi je suis venu : partager des moments de jeu et d'amusement.
Ceci dit, dans ta gastro de susceptibilité – qui par ailleurs est singulière, car tu es venu confirmer de ton propre fait, ou plus exactement dire, un jugement qui ne t'était absolument pas posé ni même sous-entendu –, tu as surtout mis en exergue le point ci-dessus : la raison d'être de ta venue et présence, ici, au sein de ce projet, et par extension mes Histoires (à ce jour, d'autres Conteurs ne s'étant pas encore proposés ; j'ai hâte du contraire), est une consommation ludique. Motif que j'accepte parfaitement. Mais qui me semble difficilement compatible avec le
de sympathie sous-titre de mes attentes et rapports d'intérêt avec les gens ; d'où l'adjonction d'un complément de nom à « gens
de sympathie ».
[Ce propos et ma position à son sujet ne sont pas nouveaux ; je devais même les développer il y a quelques mois (cf. seconde partie du message, seconde réponse à une citation de Jane ; qui elle-même soulevait ce rapport de vide), puis j'ai oublié.
D'ailleurs, ce sont entre autres ces réflexions qui ont poussé, d'échos en échos, à une longue conversation avec Le Gratte-Papier puis en conclusion à la nécessité de l'ouverture du projet, des cooptations ; en vue de séparer mes attentes, mes Histoires, mon sous-projet, et délaisser l'exclusivité du concept Il était u̶n̶e̶ notre fois… au profit d'une paternité d'idée. Dans l'attente que quelqu'un, pluriel, offre-nt ce nouveau vent de contes et d'Histoires, d'échanges avant tout.]
La consommation ludique, ou l'engagement de ne pas s'impliquer au-delà du coût d'un simple rapport usage / gain récréatifs, si j'admets bien volontiers que ce motif est acceptable. – Qui serais-je pour juger qu'il ne l'est pas ? Après tout, libre à chacun d'entretenir et de re-tirer ce que bon lui semble comme bénéfices ; malgré le fait qu'il entre en résonance avec nombre de mes analyses sur le positionnement à l'égard des biens et des rapports humains de nos jours... Sorites dont j'abreuve mes proches et qui (les) saoulent très certainement (XoXo, Ronan, KeM, Jane). – Pour moi, à différencier de
Chez moi (ce lieu ne l'étant plus vraiment, avec plaisir), dans mes Histoires donc, la consommation n'a pas sa place ; elle consume le potentiel de communication et l'enrichissement du rapport, du bien, de l'humain, les rendant pauvres – d'esprit, de sens.
« Consommation : Utilisation d’un bien qui le détruit ou le rend inutilisable », dit mon Antidote. Tout est dit.
Une perte de temps au profit d'en gagner. Dans l'extrémisme : c'est un manque de respect pour l'autre, pluriel s'entend.
Mais peut-être est-ce de l'intellectualisation, en psychanalyse j'entends.
Si je conçois et accepte ce lien causal dans mon quotidien sociétal – mais ai-je tant que ça le choix ? – je le refuse et refuserai toujours en bloc dans mes échanges créatifs, étendus aux loisirs ; les uns et les autres étant étroitement liés. (Domaine de réflexion intéressant à développer d'ailleurs, pour moi ; je ne crois pas être capable de faire quelque chose, ou d'y porter le moindre intérêt, si je n'y perçois pas de l'art ou des valeurs, du beau également... L'esthète Épicure chez les Japonais. Je me désespère.)
Bref. En conclusion. Hors polémique née de mes propos que tu auras surinterprétés, déjà oubliée, j'ai surtout relevé un point qui me titille profondément pour l'avenir de nos rapports, de sympathie, de ta participation, de sympathie également, sur mes Histoires j'entends – à bien isoler du cadre du projet
Il était u̶n̶e̶ notre fois…
Nous allons devoir y réfléchir mutuellement, si tu le veux bien. Afin de nous comprendre dans nos attentes respectives, si ces dernières sont compatibles.
Qu'en penses-tu ?
James A. H. Orne a écrit :Pour le reste, comme je vous l'ai dit, vos questions resteront sans explications. Je me suis peut-être trompé en venant ici dans ce (votre) monde.
Ceci dit, oserais-je penser que j’ai là ma réponse… à regret.
Comme d’autres avant moi, j’ai beaucoup de mal avec le fait de se braquer dans le refus de tout dialogue.
James A. H. Orne a écrit :Vincent ne le prends pas mal, c'est la vie, nous avons tous notre caractère. Même si ton objectif n'était pas d'être agressif, c'est comme cela que je l'ai perçu. Je dois certainement faire partie de ces n'importe qui avec qui Desproges n'aurait pas pu discuter de tout...
Sois rassuré, je ne prends jamais rien mal. Du sang bleu de Sainte Mère Russie coule dans mes veines, peu orthodoxe.
Tout comme je t'exhorte également à ne pas mal prendre, ni dans le silence, mon invitation à me / nous répondre, à débattre de nos divergences et accords, fussent-ils Toltèques. Geste de sympathie en vue de ne pas clore un rapport ou une idée d'intelligence entre nous, car il ne pourrait en être autrement. Mes oeillères mentionnées plus tôt.
Et, en gage de sympathie, comme tu sembles apprécier Desproges, permets-moi de t’offrir ses mots : « Pourquoi ? Pourquoi cette fausseté dans les rapports humains ? Pourquoi le mépris ? Pourquoi le dédain ? Où est Dieu ? Que fait la police ? Quand est-ce qu’on mange ? »
Graou de barbe,