Happily ever after a écrit : ↑13 mai 2017, 13:23
Vincent Favreau a écrit : ↑12 mai 2017, 15:15
C'est quoi le niveau ? Il est estimé à combien ? Quelle est la récompense, à la fin ?
Le niveau est celui que chacun se fixe, n'est-ce pas ? Et j'ai tendance à avoir un "niveau unique", tant pour ce que je corrige que ce que j'écris (sauf quand la commande est "juste" orthographique, c'est douloureux mais c'est le job). Il ne me viendrait pas à l'idée de rendre un travail approximatif, une correction partielle, de même pour ce que j'écris.
C'est tout à ton honneur, mais merci de bien vouloir ne pas oublier une simple et sacro-sainte règle, la primordiale et première : prendre du plaisir !
Pas uniquement réservée à ce projet, ces Histoires courtes, pas plus que l'écriture. En toute circonstance et d'abord et avant tout. Toujours.
De préférence, entre gens de sympathie.
Happily ever after a écrit : ↑13 mai 2017, 13:23
Ah, plusieurs Conteurs, plusieurs univers, donc !
Je l'espère.
Happily ever after a écrit : ↑13 mai 2017, 13:23
D'ailleurs, feras-tu uniquement… ce que tu fais habituellement ? [N.d.A. sous-entendu : horreur/fantastique/glauque]
Oui. Non. Une réponse de Normand pour le coup.
J'exprimais plus haut la richesse assurée de voir plusieurs Conteurs saisir l'opportunité du format court pour se faire plaisir – et nous avec. Les possibilités de ce dernier étant quasi illimitées, et presque sans impact ou lourdes conséquences en cas de raté, il serait dommage de se restreindre à un seul registre. Il est permis, faudrait-il même pas d'ailleurs s'obliger à, explorer, expérimenter, et proposer des récits différents.
Afin que chacun y trouve son compte, tant les Protagonistes (qui ont des goût et des couleurs qui ne s’accordent pas avec les Histoires déjà proposées), que les Conteurs (qui pourraient manquer d'air frais, d'immédiateté, ou qui souhaiteraient justement faire l'expérience de). Puis naturellement les Lecteurs.
Après, la couleur d'un auteur fait son style, ou inversement, sa dominante, et cela se retrouve nécessairement dans ses créations. Malgré des thématiques, textes, ou registre différents.
Je me permets une fois encore la comparaison avec un réalisateur de cinéma. Il est possible également de la faire avec un musicien, un instrument, un peintre ; en somme, toute transcription d'une perception – par le biais d'un médium – dans un support offert à…
Donc, non je n'ai pas l'intention de ne faire
que de l'horreur (en ai-je déjà vraiment fait d'ailleurs de l'horreur ?… j'en doute), du fantastique ou du glauque. – Au reste je n'écris pas
que dans ces registres littéraires, je te rappelle. – Et je compte bien moi-même profiter de cette occasion et opportunité offerte par ce format d'Histoires courtes pour m'éprouver et proposer des récits différents (J'adorerais m'essayer à du Western spaghetti par exemple).
Mais j'en ferai. À n'en pas douter. Car il s'agit de ma mélodie, telle La Fracture.
Pour paraphraser un grand philosophe : « Moi je fais dans le sonore et le dégueulasse ! C'est mon style. » — Marv,
Sin City (Frank Miller, Robert Rodriguez).
Mes confuses si ma réponse manque de clarté, j'y reviendrai et éditerai sûrement après relecture et petite sieste.
— Graou de barbe,