Newsletter : La narration se pause (sic) ! L'avenir du projet d'écriture « Il était u̶n̶e̶ votre fois… » + le roman-feuilleton « La Clinique » a écrit :Bonjour vous,
Suite à l'annonce, en date d'hier, de la suppression par et de Facebook de l'intégralité du contenu du projet
Il était u̶n̶e̶ votre fois…, et de son roman-feuilleton associé
La Clinique, vous avez été nombreux à témoigner votre sympathie et votre soutien, que ce soit par le biais des réseaux sociaux ou en retour de courriel de la newsletter. Merci !…
Quelques heures se sont écoulées depuis. Beaucoup de réflexions, de statuts, et j'ai éprouvé la nécessité de vous tenir au courant, vous, lecteurs, par qui et pour qui le projet et le roman prenaient forme.
Voici les conclusions ouvertes, quant à leurs avenirs :
Une nuit de sommeil. Un restaurant avec ses proches. Quelques courriels avec Facebook. Un roman d’Alan Bennett. Votre sympathie et votre soutien. Merci !…
Maintenant, j’ignore si je suis découragé (pour si peu ? si peu se peut…) mais chose certaine: le besoin d’un peu de temps pour réfléchir à la suite ; si suite il doit y avoir. Car, en l’état, avec le risque d’une suppression sans délai, à tout va, pouvant se répéter, le projet #iletaitvotrefois perd de son intérêt ; si intérêt j’y trouve encore. De son essence surtout.
Pour rappel, ce projet se voulait jouant de et avec les réseaux sociaux – grâce à vous, lecteurs. « Un projet – un Livre – dont les Réseaux Sociaux sont les Héros », ambitionnait le sous-titre. Les acteurs majeurs des réseaux sociaux, Facebook et Twitter, offrant une mécanique assimilée, un langage popularisé, auxquels j’ajoutais l’expérience Wattpad (je parle bien d’expérience, même si en finalité la plus belle surprise vient de là… à méditer.) La viralité entrait également en jeu.
Si l’un des deux acteurs majeurs se contente de me faire un majeur…
Il y a des solutions, des alternatives, vous m’en avez proposé :
❖ Ouvrir une page fan (heck !) pour disposer d’outils supplémentaires et, en théorie, offrir un pont d’échanges de meilleure qualité avec Facebook, et sa communauté ;
❖ Ajouter d’autres réseaux sociaux dans la diffusion des choix, en complément de Twitter et Facebook, tels Tumblr – Medium – Scribay, pour minimiser la perte si cette dernière devait se reproduire (un risque) ;
❖ Privilégier un autre réseau, dont des 100% ludiques ;
❖ Enfermer le matériel propre du projet chez moi, sur [Le] Coprin noir d’encre (après tout
La Clinique y est déjà), et créer des applications Facebook pour récupérer tous les commentaires sous l’article de présentation du projet (une forme de "t'as vu, moi aussi Mark j’ai des doigts, et même pas peur de les salir dans le cambouis, même un poing si tu veux jouer profondément…") ;
❖ Réinjecter tous les contenus supprimés – YOLO ;
❖ Ne rien changer (ça serait dommage, de ne pas en profiter pour repenser et évoluer) ;
❖ Fusionner avec le forum du projet
Il était u̶n̶e̶ notre fois…, un autre projet transmédia collaboratif que j’ai originellement initié il y un an (oui j’ai une légère obsession sur la déclinaison des noms de projet) ;
❖ Créer un site – blog – dédié ;
❖ Créer une application (là vous présumez grandement de mes capacités, vraiment) ;
❖ Racheter Facebook, et envoyer Butch, Malik et Marshall à la signature du contrat ;
❖ etc.
Maintenant il faut bien dissocier deux points majeurs :
1°/ Le projet #iletaitvotrefois ;
2°/ Le roman-feuilleton
La Clinique.
Même si le second s’écrivait et se développait dans le cadre du premier, il s’agit bien de deux créations originales distinctes. Si le premier est menacé – au moins. Le second, lui, le roman-feuilleton, non !… l’histoire de Butch, Malik, Marshall et des autres en coulisses (sans oublier les
*Autres*) sera publiée. Hors de question de la ranger au placard, de laisser les con(-gère)s la stopper, de me décourager.
D’autant que, curiosité des faits, si le projet #iletaitvotrefois par sa mécanique n’avait pas séduit tant que ça, pour le moment (il était encore très jeune comme projet), mais suffisamment tout de même pour susciter des suppressions, de toute évidence – avec présomptions, sans certitudes, dans le flou (mon côté fleur violette, sûrement, mais j’ai toujours du mal à concevoir des signalements et autres actes délibérément malveillants sur des projets créatifs n’offensant personne). Le roman
La Clinique, après seulement trois longues publications, soulevait beaucoup d’attentions, d’affinités, de retours, et son avenir commençait déjà à être évoqué dans d’autres sphères. Gage que sur cette tâche (l’écriture !) les miennes ne s’étaient pas trompées. L’histoire a quelque chose à raconter, et vous, lecteurs, avez envie de la lire !… Merci.
Reste sa mécanique dépendant du projet
Il était u̶n̶e̶ votre fois… Donc une phase de réflexion globale, ouverte à discussion – car, contrairement aux dires d’une lectrice, un jour autour d’un verre ou deux, en substance : « Mais tu n’écris pas pour moi », si !… j’écris – que – pour vous, lecteurs, au pluriel, et chaque retour est source d’enrichissement. (Oui, il y aura bien une scène de sexe dans
La Clinique. Non, toi là-bas, tu te reconnaîtras, je ne vais pas ajouter des martiens zombies dans le roman ; quoique…)
Je vais prendre un peu de temps. Il va falloir décider si
La Clinique quitte le projet #iletaitvotrefois pour (re)devenir un roman-feuilleton plus classique dans son couple écriture/publication, au détriment de son interactivité narrative, de son pont avec le quatrième mur. Ou si
La Clinique va patienter le temps d’une décision quant au projet
Il était u̶n̶e̶ votre fois…
Je vais prendre un peu de temps. Et comme dans ces moments-là, je vais écrire.
Graou de barbe,